Le 2 mai dernier, Isabelle Pilon du journal La Tribune s’est entretenue avec Louise Bienvenue, membre régulière de l’équipe, au sujet des impacts potentiels de la pandémie sur la jeunesse québécoise. Dans l’article « Des marques comme celles de la Grande Dépression ? », la professeure au Département d’histoire de l’Université de Sherbrooke, aborde les réactions de la jeune génération face à la crise économique des années 1930 ainsi que la Seconde Guerre mondiale.
Extrait : « Ce qu’on voit, c’est comment ces événements-là, comme les années 30 et la Seconde Guerre mondiale, ils marquent l’imaginaire d’une génération sur le long terme. Ce sont des années de formation, des années où on crée l’identité et ses projets de vie, ces éléments-là perturbateurs ont une empreinte plus forte que si on les vit dans un âge adulte où on est plus consolidé. Ce n’est pas pour rien qu’on parle de ‘‘génération de la crise’’ ou ‘‘de la guerre’’, ce sont des événements vécus dans le jeune âge, qui se vivent beaucoup sur la définition de l’identité. »
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