Martin Petitclerc a présenté une communication intitulée « La réaction néolibérale et la répression des mouvements sociaux québécois (1980-2012) », dans le cadre du colloque international Penser l’émancipation, qui s’est tenu à l’Université de Lausanne (Suisse) du 25 au 27 octobre dernier.
Cette communication, qui portait sur l’usage par les gouvernements du Québec / Canada de lois spéciales pour réprimer les mouvements sociaux, faisait partie du panel « Combats actuels pour l’émancipation : Antécédents et enjeux du printemps érable québécois », auquel participait également Pierre Beaudet, de l’Université d’Ottawa.
Le colloque Penser l’émancipation était motivé, comme on peut le lire sur le site internet de l’événement, par le « besoin de comprendre les logiques du capitalisme, d’en formuler une critique globale et de théoriser les contours d’une alternative possible par l’approfondissement, la confrontation et la coopération entre diverses théories et pratiques critiques et/ou révolutionnaires. »